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Pour pouvoir donc déchiffrer l’énigme des « Récits de feu Ivan Petrovitch Belkine », il convient de se demander:
- Pourquoi Pouchkine décide-t-il de cacher son nom et de se faire passer pour un Ivan Petrovitch Belkine, auteur inexistant des « Récits » ?
- Pourquoi fallait-il imaginer un ami anonyme, voisin d’Ivan Petrovitch Belkine, qui envoie à l’éditeur (Pouchkine) la biographie de « l’écrivain » ?
- Pourquoi y a-t-il quatre narrateurs (Ivan Petrovitch Belkine n’a fait qu’à noter les récits) et cinq récits ? (** Effectivement, dans le manuscrit de M. Belkine chacun des récits est marqué dessus : je dois ce récit à telle personne, poste ou titre et deux lettres en majuscule qui indiquent noms et prénoms).
Il est précisé pour un lecteur curieux que « Le Maitre de Poste » lui fut raconté par un conseiller titulaire A.G.N, « Le Coup de Pistolet » – par un lieutenant-colonel I.L.P, « Le Marchand de Cercueils » – par un intendant B.V., « La tempête de Neige » et « La Demoiselle-Paysanne » – par une demoiselle K.I.T. - Pourquoi le poète décide-t-il de changer la chronologie de narration et met « Le coup de Pistolet » et « La Tempête de Neige » au début du recueil, tandis que selon l’ordre chronologique ils devaient normalement le terminer ?
- Pourquoi seule « La tempête de Neige » est-t-elle située dans le temps et date de 1811-1812 ?
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L’islam coranique représente pour les patrons du projet biblique l’un des problèmes primordiaux, qui relève de la culturologie à l’échelle mondiale.
L’acuité du problème s’explique par le fait que la doctrine politique mondiale, qui anime des activités politiques de l’Occident, est la résultante de deux principes:
- les juifs sont supérieurs aux autres hommes, et ces derniers sont obligés d’être respectueusement tolérant à leur égard,
- l’acquisition du monde avec tous ses habitants et biens grâce au monopole multinational judaïque d’usure.
Bien que ces principes ne soient ouvertement déclarés, ils sont rigoureusement réalisés “par défaut”.
En vérité le Coran réprouve la doctrine de supériorité des juifs sur d’autres hommes et de façon formelle défend l’usure, en la considérant comme étant une variété du satanisme. Malgré que ces principes ne soient pas traduits en pratique politique des pays musulmans, basée sur une conception toute contraire à l’esclavage biblique, ceux qui se croient être vrais musulmans ne s’en rendant pas compte, les patrons de l’Occident, quant à eux, ils comprennent bien que le Coran menace l’institution du régime mondial de leur pouvoir. D’où leur envie de le vouer à l’oubli historique.
Comment les patrons de l’Occident pourraient voire la résolution “du problème de l’Islam”: l’opération à multiples issues:
Le fait que la société humaine contemporaine et le réseau informatique sont des systèmes informationnels, permet d’établir entre eux de profondes analogies. Un élément clef du réseau informatique est le système d’exploitation, dont le cœur est composé d’algorithmes et de données d’origine, requis au fonctionnement et co-fonctionnement des programmes d’application. La culture de la société humaine représente, par analogie, un système d’exploitation. Comme le système d’exploitation englobe les programmes d’application, la culture représente un système qui englobe les activités économiques. En conséquence, pour pouvoir comprendre les problèmes économiques, il est nécessaire d’avoir une idée de la culture préconisée par la société, et dans ce cas donné, de la culture biblique.
L’architecture de la culture biblique comprend plusieurs composantes. Elle renferme dans son cœur un code source, impénétrable pour la majeure partie d’utilisateurs. Cependant, pour pouvoir résoudre les problèmes pratiques, une équipe d’utilisateurs avancés a accès à la console et à une liste de commandes décrites dans le manuel intitulé “Ancien Testament”. Pour assurer à l’équipe restreinte la priorité absolue par rapport à n’importe quel utilisateur, le cœur est pourvu de moyens spéciaux qui, pour des raisons de sécurité, ne sont inscrits sur aucun manuel. Du point de vue de l’utilisateur ordinaire, les facultés du concepteur semblent être PRODIGIEUSES.
Le concept de sécurité collective repose sur un fait objectif qui part à la fois des connaissances élémentaires de la biologie et du regard que chacun peut porter sur sa propre mentalité. Cela permet d’affirmer que la base informationnelle et algorithmique de la conduite humaine comprend:
- Les instincts innés et les réflexes inconditionnels (au niveau intracellulaire et cellulaire ainsi qu’au niveau des tissus, des organes, des systèmes et de l’organisme entier), ainsi que leur expression façonnée par la culture.
- Les traditions culturelles qui sont elles-mêmes supérieures aux instincts.
- La raison personnelle qui est limitée par les sentiments et la mémoire.
- “L’intuition en général” – ce qui émerge des niveaux mentaux inconscients de l’individu, lui vient de la mentalité collective. Il est par ailleurs inspiré par des illusions du dehors et par une obsession au sens inquisiteur du mot.
- Le gouvernement divin qui est accompli dans les limites de la Providence, réalisé sur la base de tout ce qui précède à l’exception des illusions et de l’obsession qui fait des irruptions directes du dehors dans la mentalité d’autrui, contrairement au désir et à la volonté de son possesseur.
Il y a une place potentielle ou réelle pour tout cela dans la mentalité de tout individu. Il y a également ce qui rend l’humanité différente de la biosphère. Cependant ni la biologie, ni la psychologie, ni la sociologie n’en tiennent compte et les manuels scolaires ainsi que ceux de l’enseignement supérieur n’en parlent pas non plus. Ce silence s’explique par ce qui suit: